du numéro 117
Les éducateurs doivent-ils écrire pour être reconnus ? Regards sur les expériences d’écriture des éducateurs pour faire connaître leur métier
Retour au sommaire du n°117 « Où va le métier d’éducateur ? »
Auteur(s)
Bénédicte WANTIER
Maitre-assistante en langue française, section éducateurs spécialisés (Haute École en Hainaut) et formatrice indépendante à l’écriture professionnelle et accompagnement de projets éditoriaux collectifs d’éducateurs
Premières lignes :
Depuis plusieurs années, j’accompagne à titre privé des éducateurs spécialisés dans leurs projets d’écriture, dans le cadre de formations et d’ateliers d’écriture conçus à la demande d’institutions ou de collectifs. Les demandes concernent majoritairement l’écriture professionnelle, abordée comme prolongement de la relation éducative et qui engage dès lors une part de soi.
Étant donné la variété des écrits que rédigent les éducateurs (observations quotidiennes, projet individualisé, diagnostic social, rapport éducatif, livret d’accueil, rapport d’un conseil des hébergés, projet de vie, etc.), les formations ne s’appuient pas sur la prescription de modèles standardisés et débutent plutôt par un accompagnement à l’exploration ethnographique des pratiques d’écriture en place.
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titre
Un enfant sur quatre souffre de déprivation matérielle en Wallonie
retour au sommaire du n°84 "Besoins primaires dans un contexte d’opulence" Auteur(s) : Anne-Catherine GUIO Chercheuse au LISER (anciennement CEPS/INSTEAD), Luxembourg Premières lignes : En Belgique, la pauvreté concerne un grand nombre d’enfants, bien que dans une proportion différente (…)
