du numéro 117
Les éducateurs doivent-ils écrire pour être reconnus ? Regards sur les expériences d’écriture des éducateurs pour faire connaître leur métier
Retour au sommaire du n°117 « Où va le métier d’éducateur ? »
Auteur(s)
Bénédicte WANTIER
Maitre-assistante en langue française, section éducateurs spécialisés (Haute École en Hainaut) et formatrice indépendante à l’écriture professionnelle et accompagnement de projets éditoriaux collectifs d’éducateurs
Premières lignes :
Depuis plusieurs années, j’accompagne à titre privé des éducateurs spécialisés dans leurs projets d’écriture, dans le cadre de formations et d’ateliers d’écriture conçus à la demande d’institutions ou de collectifs. Les demandes concernent majoritairement l’écriture professionnelle, abordée comme prolongement de la relation éducative et qui engage dès lors une part de soi.
Étant donné la variété des écrits que rédigent les éducateurs (observations quotidiennes, projet individualisé, diagnostic social, rapport éducatif, livret d’accueil, rapport d’un conseil des hébergés, projet de vie, etc.), les formations ne s’appuient pas sur la prescription de modèles standardisés et débutent plutôt par un accompagnement à l’exploration ethnographique des pratiques d’écriture en place.
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titre
« Parle à mon corps ; l’inceste l’a rendu sourd » : de la nécessaire évolution d’une pratique au service des mineurs victimes d’abus sexuels au sein de leur famille
retour au sommaire du n°80 "Le corps dans l’intervention (psycho)sociale" Auteur(s) : Samira Bourhaba Directrice du service Kaleidos, Liège Premières lignes : Engagés depuis une dizaine d’années dans l’aide aux mineurs victimes d’abus sexuels intra-familiaux et/ou mineurs auteurs de (…)