n°100
Ecrire (ou ne pas écrire) pour garder trace
retour au sommaire du n°100 "Ecrire dans le social"
Auteur(s) :
interview par C. Leclercq
de Christian MEULDERS
Directeur de Surÿa Liège
Premières lignes :
Surÿa fait partie des trois centres spécialisés en Belgique pour l’accueil, l’accompagnement et l’hébergement des personnes victimes de la traite et du trafic international des êtres humains. Dans ce cadre particulier, l’écrit se déploie au fil des entretiens. De notes manuscrites prises sur le vif en compte-rendus partagés sur une plate-forme sécurisée, il tente de retracer la ligne du temps de vies brisées, d’histoires qui peinent parfois à se raconter. Christian Meulders nous livre quelques réflexions sur la place de l’écrit chez Surÿa, ses contraintes, ses spécificités, ses rapports avec les nouvelles technologies, ses différences avec l’oral, ses risques aussi.
Mots-clés : compte-rendu, entretien, notes de suivi, nouvelles technologies, partage de l’information, confidentialité, éthique
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titre
« Parle à mon corps ; l’inceste l’a rendu sourd » : de la nécessaire évolution d’une pratique au service des mineurs victimes d’abus sexuels au sein de leur famille
retour au sommaire du n°80 "Le corps dans l’intervention (psycho)sociale" Auteur(s) : Samira Bourhaba Directrice du service Kaleidos, Liège Premières lignes : Engagés depuis une dizaine d’années dans l’aide aux mineurs victimes d’abus sexuels intra-familiaux et/ou mineurs auteurs de (…)