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n°100

Ecrire (ou ne pas écrire) pour garder trace

retour au sommaire du n°100 "Ecrire dans le social"


Auteur(s) :

interview par C. Leclercq

de Christian MEULDERS

Directeur de Surÿa Liège


Premières lignes :

Surÿa fait partie des trois centres spécialisés en Belgique pour l’accueil, l’accompagnement et l’hébergement des personnes victimes de la traite et du trafic international des êtres humains. Dans ce cadre particulier, l’écrit se déploie au fil des entretiens. De notes manuscrites prises sur le vif en compte-rendus partagés sur une plate-forme sécurisée, il tente de retracer la ligne du temps de vies brisées, d’histoires qui peinent parfois à se raconter. Christian Meulders nous livre quelques réflexions sur la place de l’écrit chez Surÿa, ses contraintes, ses spécificités, ses rapports avec les nouvelles technologies, ses différences avec l’oral, ses risques aussi.


Mots-clés : compte-rendu, entretien, notes de suivi, nouvelles technologies, partage de l’information, confidentialité, éthique

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